Publié dans Sport

Eliminatoires CAN 2023 - Les 4 chapeaux du tirage sont connus !

Publié le dimanche, 03 avril 2022

48 pays seront en course pour les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2023). Madagascar est logé dans le chapeau 2 en vue du tirage au sort des groupes pour les éliminatoires de la CAN 2023.

En attendant la date officielle du tirage au sort, la CAF a dévoilé les chapeaux des éliminatoires de la prochaine édition de la Coupe d’Afrique des Nations, prévue en Côte d’Ivoire du 23 juin au 23 juillet 2023, à laquelle 48 sélections en lice ont ainsi été réparties en 4 chapeaux, basés sur le dernier classement FIFA du mois de mars. Ainsi, 48 sélections, réparties en 12 groupes de quatre équipes disputeront ces éliminatoires. Seules les deux premières équipes de chaque groupe seront qualifiées.

Les contours des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023 se dessinent. Les Barea classés 21eme du classement africain se trouvent dans le chapeau 2 en vue du tirage au sort des groupes pour la qualification à la plus prestigieuse compétition continentale. Les deux premières de chaque groupe seront qualifiées pour la phase finale qui va se dérouler en Côte d’Ivoire. 

Par contre, les Barea devront obligatoirement croiser le fer avec l’une des équipes du chapeau 1. A savoir : le Sénégal, le Maroc, la Tunisie, le Nigeria, l’Algérie, le Cameroun, l’Egypte, le Mali, la Côte d’Ivoire (pays hôte), le Burkina Faso, le Ghana, la RD Congo.

Enfin, la 4e équipe que pourrait croiser Madagascar se trouve dans le chapeau 4. Soit les Comores, la Tanzanie, le Soudan, le Rwanda, le Liberia, le Lesotho, Eswatini, le Botswana, l’Ethiopie, le Burundi, le Sud-Soudan, Sao Tomé et Principe. Les tirages au sort seront communiqués par la CAF ultérieurement.

En principe, les quatre premières journées sont programmées du 1er au 14 juin. Les deux dernières journées se dérouleront du 19 au 27 Septembre. 

Recueillis par E.F

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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